• ... Jean-Sylvain Cabot et Philippe Robert

     

     

    Ce bouquin propose une sélection de disques de Hard-Rock des 60's et des 70's.

    A côté des incontournables Led Zeppelin, Deep Purple, Black Sabbath ou encore Aerosmith et Alice Cooper, les auteurs ont eu la bonne idée de déterrer des trésors cachés de groupes complètement oubliés, aujourd'hui.

    Ce bouquin, ainsi que l'excellente rubrique actuelle de Rock & Folk intitulée "Highway 666 revisited", m'ont permis de découvrir des groupes tels que Three Man Army, Granicus, Leaf Hound ou encore Tin House que je ne connaissais pas mais qui valaient le détour!


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  • ... de Christian Ravasco

     

     

    L'auteur Christian Ravasco a eu une idée brillante: 

    Faire raconter la vie et la mort mystérieuse de Robert Johnson par le Diable auquel, selon la légende, Robert Johnson aurait vendu son âme en échange de sa technique guitaristique.

    L'auteur y évoque son enfance chaotique, ses rencontres avec Son House, Charley Patton et Blind Boy Fuller, ses débuts besogneux de musicien où, n'ayant aucune technique, il se fait jeter de tous les endroits où il se produit jusqu'à sa rencontre supposée avec le Diable qui lui prodigue son savoir en échange de son âme, les enregistrements de ses 29 chansons et enfin sa mort mystérieuse en 1938 causée par du whisky empoisonné par un mari jaloux.


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    Disons le tout net: je n'ai pas aimé ce livre.

    J'ai tendance à me jeter sur tout ce qui concerne les Stones et, après avoir dévoré "Life" de Keith Richards, je me suis attaqué à "Brian Jones & les Rolling Stones" de Jeremy Reed.

    Faut croire que les livres sur les Stones sont "bankable"!

    C'est en tout cas ce qu'a dû se dire l'auteur...

    En fait de biographie, l'auteur semble faire une fixation sur l'homosexualité supposée de Brian (on y a droit quasiment à toutes les pages!), faisant le parallèle avec Oscar Wilde.

    Quand bien même ce serait vrai, qu'est-ce qu'on en a à cirer?

    Mais bon, admettons...

    Le hic, c'est que, pour étayer ses propos, Jeremy Reed utilise des arguments qui sont loin d'être convaincants.

    Exemple: lorsqu'il évoque le fait que Brian ait mis enceinte une fille lorsqu'il n'avait que 16 ans, l'auteur y trouve une justification! Avouez que c'est un peu tiré par les cheveux!

    Toujours selon lui, la chanson "I want to be your man" serait une déclaration de Jagger envers Brian!

    Tout simplement risible lorsqu'on sait que cette chanson n'est pas signée Jagger/Richards mais... Lennon/McCartney!

    Si bien qu'à la fin du bouquin, lorsque Jeremy Reed évoque l'assassinat supposé (qui ne fait aucun doute pour lui) de Brian, on a du mal à croire à la crédibilité de sa thèse.

     

     

     

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    Cà y est! Je viens juste de terminer les 643 pages passionnantes de "Life", les mémoires de Keith Richards!

     

    De son enfance modeste à Dartford, banlieue de Londres, où il croise de temps en temps Mick Jagger, au concert de Rio devant plus d'un million de fans, Keith nous fait découvrir de l'intérieur l'histoire du plus grand groupe de Rock'n Roll. Il n'élude pas son rapport aux drogues ni la dégradation de ses rapport avec Mick, notamment durant les 80's.

     

    Si, comme moi, vous êtes fan des Rolling Stones, je vous le recommande chaudement!

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    Je me souviens avoir lu avec plaisir "Malataverne".

    Son auteur, l'écrivain Bernard Clavel, est décédé aujourd'hui.

    Il avait 87 ans.

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  • Voici quelques unes des fautes d'orthographe que j'ai relevées dans " Milagro", le bouquin que je viens de lire.

    C'est étonnant qu'il y en ait autant...

    Comme quoi, faites attention à vos dents lorsque vous dévorez un roman: vous pouvez tomber sur des coquilles!

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    Pendant les vacances, j’ai relu « Milagro »,  un roman de John Nichols qui a été porté à l’écran en 1988 par Robert Redford.

    C’est un peu l’histoire du pot de terre contre le pot de fer.

    A Milagro, petite ville à forte population « chicanos » du sud-ouest des Etats-Unis, un riche entrepreneur, Ladd Devine,  règne en despote en rachetant à bas prix, avec la complicité d’élus locaux corrompus, la plupart des terres et surtout les droits sur l’eau en vue de créer un complexe touristique. Pour cela, il fait construire un barrage.

    Un jour, Joe Mondragon, un petit paysan teigneux, bourru et mal embouché, en détourne un peu d’eau illégalement pour irriguer son champ de haricots. Ce simple geste va prendre des proportions considérables ; la solidarité entre les pauvres va s’organiser et va entraîner la ville dans un bras de fer entre les petits et les puissants.

    A la fois drôle et touchant, le bouquin est une jolie fable, très agréable à lire, plein de personnages pittoresques et truculents.

    Malheureusement, l’exemplaire que je possède, paru aux éditions Londreys, est truffé de fautes d’orthographes.

    La première fois que je l’avais lu, je m’en étais agacé me demandant comment c’est possible qu’un livre puisse paraître sans que ces erreurs ne soient corrigées. Passe encore que quelques « coquilles » se glissent inopportunément (çà peut arriver), mais là…

    Ce coup-ci, m’en souvenant, je m’en suis plutôt amusé en notant les fautes

     

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    Depuis sa parution en 1970, ce bouquin a connu un très grand succès en librairie et retrace les principales batailles des tribus indiennes, au XIXème siècle.

    On suit les épopées des Sioux, des Apaches, des Comanches et des Cheyennes mais aussi de tribus moins connues commes les Modocs de Californie ou les Utes du Colorado qui ont été totalement décimés.

    Le livre s'achève par le massacre de Wounded Knee, où la tribu du chef Miniconjou Big Foot fut anéantie par les mitrailleuses Hothckiss de l'armée américaine, en 1890. Cet évènement marquait la fin des guerres indiennes.

    De traités non respectés en traitrises, ce bouquin vient rappeler que la conquête de l'Ouest fut quand même un des plus grands hold-ups de l'histoire de l'humanité...

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  •  Ce bouquin retrace la vie du chanteur mythique d'AC/DC.

    On suit d'abord son enfance en Ecosse. Déjà, il est attiré par la musique, fasciné notamment par les groupes de cornemuses.

    Puis, comme beaucoup de britanniques à cette époque-là, sa famille émigre en Australie et s'établissent à Fremantle.

    Ronald Belford Scott, que sa mère appelera toujours Ron, découvre le Rock'n Roll et forme son premier groupe, les Valentines.

    Ils écument l'ouest de l'Australie de Perth à Adelaide, en passant par Melbourne.

    A cette époque, dans les 60's, le seul groupe australien ayant percé sont The Easybeats, rendus célèbres grâce à leur tube "Friday on my Mind" que David Bowie reprendra sur l'album "Pin-Ups", et au sein duquel évoluaient Harry Vanda et Georges Young, le propre frère de Malcolm et Angus, qui produiront plus tard la crème des groupes australiens, The Angels, Rose Tatoo....

    Après l'aventure des Valentines, Bon rejoint un autre groupe, Fraternity, et se fait ainsi connaître dans l'est de l'Australie.

    Puis, en 1974, il fait la connaissance de deux gamins de Sydney, Malcolm et Angus Young qui l'embauchent au sein d'AC/DC.

    La légende est en marche...

    Le livre nous fait découvrir un homme galant, poli, intelligent mais aussi un fêtard invétéré, alcoolique et excessif, au charisme incontestable!

    Une des plus belles phrases du livre: "Dans AC/DC, les membres étaient les lettres du logo; Bon, lui, en était l'éclair, au milieu!"

     

     

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    Journaliste pour Rock & Folk, Best, RTL, France Inter et RMC, Jean-Noël Coghe retrace, dans cette biographie, le destin de ce musicien irlandais aussi génial qu'humble (comme quoi, on peut très bien s'appeler Gallagher et ne pas choper la grosse tête...)

    Depuis son enfance à Cork où il se prend de passion pour le Rock et le Blues (mais aussi le Jazz...)  jusqu'à son décès désolant en 1995, le bouquin suit la vie de Rory Gallagher: son coup de foudre très jeune pour la Stratocaster qu'il conservera toute sa vie et qu'il finira par récupérer après se l'être faite voler; le soutien indéfectible de son frère Donal, ses débuts au sein de Taste, ses concerts un peu partout dans le monde, une rencontre incongrue avec Maxime Leforestier et surtout une dévotion totale à sa musique.

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  • Ce livre retrace une page peu glorieuse de l'Histoire des Etats-Unis d'Amérique.

    Les Cherokees, avec les Creeks, les Séminoles, les Chocktaws et les Chickasaws, formaient ce que l'on appelait à l'époque les cinq nations indiennes civilisées.
    Ces nations, qui vivaient dans le sud-est des Etats-Unis, avaient adopté le mode de vie des Blancs.
    A tel point que les Cherokees avaient créé des écoles, une constitution, une police, une presse et même un alphabet inventé par un dénommé Sequoyah.
    Les plus fortunés possédaient même des esclaves d'origine africaine!
    Malgré cela, l'état de Georgie, avec la bénédiction du président des Etats-Unis de l'époque, Andrew Jackson (à côté duquel Georges W. Bush passerait presque pour Mère Teresa...), a exigé que les Cherokees soient expulsés de leur terre d'origine. Tout cela au nom du christiannisme, de la civilisation et (Hem! Faut le dire vite) de la démocratie!
    Le fait que l'on y trouve de l'or (que les Cherokees n'avaient même pas le droit d'extraire de leur propre territoire!) a célé leur sort:
    Durant l'hiver 1838-1839, la totalité de la nation Cherokees a été contrainte de s'exiler vers l'Ouest jusqu'au "Territoire Indien" qui allait plus tard devenir l'état de l'Oklahoma.
    Sur les 16000 personnes expulsées, 4000 ont perdu la vie, dont un tiers avant même leur départ dans des fortins construits à la hâte, en quelque sorte, les premiers camps de concentration...

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  • Un paysan Chinois suscitait la jalousie des plus riches du pays parce qu’il possédait un cheval blanc merveilleux.



    Chaque fois qu’on lui proposait une fortune pour l’animal, le vieillard répondait :
    — " Ce cheval est beaucoup plus qu’un animal, pour moi, c’est un ami, je ne peux pas le vendre."
    Un jour, le cheval disparut. Les voisins rassemblés devant l’étable vide donnèrent leur opinion :
    — "Il était prévisible qu’on te volerait ton cheval. Pourquoi ne l’as-tu pas vendu ? "
    Le paysan se montra plus dubitatif :
    — " N’exagérons rien, dit-il. Disons que le cheval ne se trouve plus dans l’étable. C’est un fait. Tout le reste n’est qu’une appréciation de votre part. Comment savoir si c’est un bonheur ou un malheur ? "
    Les gens se moquèrent du vieil homme. Ils le considéraient depuis longtemps comme un simple d’esprit.



    Quinze jours plus tard, le cheval blanc revint. Il n’avait pas été volé, il s’était tout simplement sauvé et présentement ramenait une douzaine de chevaux sauvages avec lui. Les villageois s’attroupèrent de nouveau.
    — "Tu avais raison, ce n’était pas un malheur mais une bénédiction."
    — "Je n’irai pas jusque là, fit le paysan. Contentons-nous de dire que le cheval blanc est revenu. Comment savoir si c’est une chance ou une malchance ?"

    Les villageois se dispersèrent, convaincus que le vieil homme déraisonnait. Recevoir douze chevaux était indubitablement un cadeau du ciel. Qui pouvait le nier ?

    Le fils du paysan entreprit le dressage des chevaux sauvages. L’un d’eux le jeta à terre et le piétina. Les villageois vinrent une fois de plus donner leur avis :
    — « Pauvre ami ! Tu avais raison, ces chevaux sauvages ne t’ont pas porté chance. Voici que ton fils unique est estropié. Qui donc t’aidera dans tes vieux jours ? Tu es vraiment à plaindre. »
    — "Voyons rétorqua le paysan, n’allez pas si vite. Mon fils a perdu l’usage de ses jambes, c’est tout. Qui dira ce que cela nous aura apporté ? La vie se présente par petits bouts, nul ne peut prédire l’avenir."



    Quelques temps plus tard, la guerre éclata et tous les jeunes gens du pays furent enrolés dans l’armée, sauf l’invalide.
    — « Vieil homme, se lamentèrent les villageois, tu avais raison, ton fils ne peut plus marcher, mais il reste auprès de toi tandis que nos fils vont se faire tuer."
    — "Je vous en prie, répondit le paysan, ne jugez pas hâtivement. Vos jeunes sont enrolés dans l’armée, le mien
    reste à la maison, c’est tout ce que nous puissions dire. Dieu seul sait si c’est bien ou mal. »

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  • Biographie de Richard Neville, jeune australien qui, au coeur des 60's bouillonnantes, lance en Australie, puis en Angleterre "OZ", un magazine underground, subversif et provocateur, complètement en phase avec le mouvement hippy qui est en train de naître.
    Evidemment, la liberté de ton du magazine se heurte au puritanisme et au conservatisme de l'establishment qui n'y voit qu'une revue indécente et immorale.
    Tout cela est raconté avec beaucoup d'humour et, au delà de la chronique des "Swinging sixties", le livre se révèle un formidable hymne à la liberté d'expression!
    Notion que je partage complètement quant à la tenue de mon blog!
    En cela, il m'est une source d'inspiration!



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  • En janvier 2004, le "Bugaled Breizh", "L'enfant de Bretagne" en français, sombrait mystérieusement au large du cap Lizard, près de l'Angleterre.
    Les cinq membres d'équipage pourtant chevronnés et compétents, y ont tous laissé leur vie.
    Dans son livre, "Adieu Bugaled Breizh", l'écrivain Yann Quéffélec revient sur cette tragédie avec la conviction que ce fier et imposant chalutier a été entrainé par le fond par un sous-marin.
    C'est également mon opinion.
    Plusieurs détails sont troublants, notamment, selon les premiers témoins, la présence sur les lieux du naufrage de deux radeaux de secours, l'un rouge vif, l'autre orange.
    Or, le Bugaled Breizh ne possédait pas de radeau rouge.
    En outre, au moment des faits, plusieurs sous-marins de l'OTAN participaient à des exercices dans le secteur. Ils étaient anglais, français, hollandais ou allemands.
    De plus, ce genre de manoeuvres attire également, incognito, des navires espions russes, chinois ou autres...
    Saura-t-on un jour la vérité?

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  • Pendant les vacances, j'ai lu avec plaisir ce livre du romancier américain Jim Harrison que j'apprécie beaucoup!




    Plaqué par sa femme à soixante ans, Cliff décide de quitter sa ferme dans le Michigan et de prendre la route à la découverte des états de l'Ouest américain. A chaque état qu'il traverse, il y dépose une pièce de puzzle représentant cet état. A la fin, il rebaptise d'ailleurs les tous états du nom d'une tribu indienne. Exemple: le Colorado devient Ute, le Kansas Wichita, l'Arizona Apache et le Dakota du Sud Lakota. Le bouquin, truffé de personnages trucculents est très agréable à lire!

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