Un petit Tex Avery, pour se distraire? Allez hop!

Il fut un temps où, tous les ans à l'époque des fêtes de fin d'année, France 3 nous régalait avec les dessins animés de Tex Avery.

Bourrés d"humour, d'inventivité et de trouvailles géniales ( comme par exemple ici, l'ombre du spectateur qui se lève), ces dessins animés sont de pures merveilles.

En hommage au réalisateur Blake Edwards qui vient de disparaitre...

Avant de devenir un dessin animé à part entière, "La Panthère Rose" a d'abord été le générique de cette savoureuse comédie qui s'est déclinée en suites ("Le Retour de la Panthère Rose"; "Quand la Panthère Rose s'emmêle"; "La malédiction de la Panthère Rose"...)

Le génial Peter Sellers y campait le fameux inspecteur Clouseau. 

 Ce cinéaste italien, qui a réalisé notamment "Le Pigeon" et "Les nouveaux monstres", s'est suicidé à l'âge de 95 ans en se défenestrant de sa chambre d'hôpital où il était soigné pour un cancer en phase terminale...

Ce cinéate américain avait réalisé "Les yeux de Laura Mars", "Star Wars Episode V: L'Empire contre-attaque", "Jamais plus jamais" et "Robocop 2" et apparaissait également en tant qu'acteur dans "La dernière tentation du Christ" de Martin Scorcese.

Il est mort le 27 novembre 2010;

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Hommage, par ce court extrait du film "Y a t-il un pilote dans l'avion" qui m'avait beaucoup fait rire à sa sortie, au comédien Leslie Nilsen qui vient de décéder.

Grande figure du théâtre, de la télévision et du cinéma, ce comédien, né à Morlaix en 1928, était apparu dans d'innombrables films parmi lesquels "Z", "La moutarde me monte au nez", "Adieu Poulet" ou encore "L'aile ou la cuisse".

Julien Guiomar est mort dimanche.

Cette comédienne est décédée le 11 novembre.

Elle formait avec son époux Jean Desailly un des couples les plus célèbres de la télévision, du cinéma et surtout du théâtre.

Cette vidéo fait actuellement le " buzz", sur le net.

Dans un bonus DVD du film de Charlie Chaplin, "Le Cirque", un personnage déambule la main collée à l'oreille tout en remuant les lèvres, exactement comme si elle utilisait un téléphone portable. Or, le film date de... 1928!

Alors, trucage? Voyage spatio temporel? Ou alors tout simplement appareil auditif?

En tout cas, la scène est très troublante...

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Vous connaissez très certainement la série télévisée culte américaine "Happy Days".

Tom Bosley, qui y interprètait le père de Richie, est décédé mardi.

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Hommage à Colette Renard, comédienne et chanteuse qui vient de disparaitre à l'âge de 86 ans, avec cette succulente chanson paillarde...

Elle apparaissait encore, récemment, dans la série télévisée de France 3 "Plus belle la vie".

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Hommage à Tony Curtis qui vient de disparaître, avec la musique du générique d' "Amicalement Vôtre" signée John Barry.

 J'avais repéré sur un journal gratuit une soirée spéciale Rolling Stones sur Direct Star (ex-Virgin 17) ce soir à la télévision.

Je me disais "chouette!"

Las! Le premier reportage que je suis en train de regarder, "Star Story Rolling Stones", est d'une nullité affligeante!

Ce reportage où le commentateur se contente de débiter des banalités en survolant "au lance-pierre" la carrière de ce groupe fabuleux, ne nous apprend absolument rien et vire plutôt au docu "people". 

Pire, il n'y a pas une seule note d'au moins une de leurs chansons. A la place, on a droit à une espèce de "muzak" insupportable.

Bref, c'est nul à c...r!

Les Stones méritaient mieux!

Bon ok, après il y a quelques clips plus ou moins regardables ("Sympathy for the Devil" excellent; "Undercover of the Night" bof.; "Gimme Shelter" version catastrophique...)

Cécile Aubry avait tout d'abord créé le feuilleton "Poly", où l'on suivait les aventures d'un poney et d'un petit garçon, interprété par son propre fils, Mehdi.

Puis, toujours avec son fils, elle avait enchaîné avec "Belle et Sébastien", qui relatait l'amitié entre un chien de montagne et un petit garçon.

A nouveau, elle avait mis en scène son fils dans "Le jeune Fabre", feuilleton qui révela Véronique Jeannot.

Cécile Aubry est décédée aujourd'hui à 81 ans.

Bernard Giraudeau est mort ce matin.

Cet acteur discret, talentueux et attachant aura lutté jusqu'au bout avec courage et élégance contre le cancer qui le minait depuis de nombreuses années.

Après s'être engagé dans la marine à l'âge de 15 ans, il s'était lancé dans le métier d'acteur et avait débuté au cinéma aux côtés de Jean Gabin et Alain Delon dans le film "Deux hommes dans la ville". Puis il avait enchaîné les rôles au cinéma, au théâtre et à la télévision, tournant notamment pour José Giovanni (Le Gitan), Yves Boisset (Le juge Fayard, dit le Shériff), Patrice Leconte (Viens chez moi, j'habite chez une copine; Les Spécialistes)...

Outre ses activités au cinéma en tant qu'acteur, réalisateur et producteur, Bernard Giraudeau a également écrit plusieurs livres qui ont obtenu de jolis succès et dans lesquels il évoque ses souvenirs de marine et son attrait pour l'aventure et les voyages (Les caprices d'un fleuve; Le marin à l'ancre; Les hommes à terre...)

Comédien de théâtre et de cinéma, il avait tourné avec Henri-Georges Clouzot, Luis Bunuel, Claude Berri ou encore Jean-Luc Godard. Laurent Terzieff est décédé aujourd'hui à l'âge de 75 ans.

Pas franchement un temps à aller faire du bronzage intégral...

On est pourtant fin juin...

Alors, je suis allé au cinéma voir "When you're strange", un documentaire de Tom DiCillo qui retrace la carrière des Doors, groupe mythique des 60's.

La salle était étonnament pleine, quoique pas très grande.

Preuve que Jim Morisson fascine encore!

Narré par Johnny Depp, le film s'ouvre sur Jim Morisson, en plein désert, s'extirpant d'une carcasse de voiture, puis, alors qu'il conduit, allume la radio où il apprend.. sa propre mort!

Le film montre, au début tout du moins, un Jim Morisson souriant, sympathique et heureux qui contraste avec l'image de poète dépressif et torturé qu'on a l'habitude de présenter.

Toutefois, il n'élude pas les problèmes de drogues et d'alcool endurés par Jim Morisson et les autres musiciens du groupe, Robbie Krieger, Ray Manzarek et John Densmore.

Les Doors n'avaient pas de bassiste, ce qui conférait à leur musique un son original où transparaissaient des influences tels que le Jazz, le Rock, le Blues, le Flamenco...

Le réalisateur a eu l'intelligence d'évoquer, à travers des images d'archives, le contexte de l'époque: la lutte pour les droits civiques des noirs, la guerre du Vietnam, le mouvement hippy et les assassinats de John et Bob Kennedy ainsi que de Martin Luther King.

On se souvient tous de la célèbre sitcom américaine "Arnold et Willy" où l'on suivait, sur un mode humoristique, les aventures de deux gamins pauvres et noirs adoptés par une famille riche et blanche.

Gary Coleman, qui jouait le rôle d'Arnold, est décédé d'une hémorragie cérébrale consécutive à une mauvaise chute, le 28 mai. Il avait 42 ans...

Ce n'est certes pas la première fois que le cinéma conte les aventures de ce héros légendaire mais Ridley Scott a l'intelligence de situer l'action avant la légende, lorsque Robin Longstride ne se faisait pas encore appeler Robin des Bois.

Rentrant des Croisades, il assiste, lors de la prise d'un château-fort en Normandie, à la mort de son roi Richard Coeur-de-Lion. Robin va croiser sur sa route Robin Loxley, mortellement blessé qui lui demande de ramener son épée à son père, joué par Max Von Sidow, et de veiller sur Marianne, très bien interprétée par la lumineuse Cate Blanchett.

De retour en Angleterre, alors que Jean-sans-Terre a pris les rènes du royaume, Robin découvre l'étendue de la corruption. Il est confronté à Godefroy, un félon sans foi ni loi à la solde des français et qui, chargé par Jean-sans-Terre de récolter des impots, pille sans vergogne les différents villages qui se trouvent sur sa route. Dès lors, Robin Longstride épouse Marianne et prend la défense des gens miséreux.

Le film est très plaisant à regarder. Les scènes de bataille, notamment la prise du château-fort, sont très spectaculaires et la scène finale de la bataille sur la plage de Douvres a des allures de "débarquement en Normandie" et rappelle curieusement le début de "Il faut sauver le soldat Ryan", de Steven Spielberg.

Bref, un bon moment de cinéma d'aventures.

Film vu ces jours-ci...

Sur fond de guerre d'Irak, ce film s'inspire bien sûr des évènements qui s'y sont déroulés mais est avant tout un excellent thriller efficace et spectaculaire.

L'adjudant-chef Roy Miller, joué par Matt Damon, recherche en vain les fameuses "armes de destruction massive" de Saddam Hussein. Malgré des informations fournies par un mystérieux "Magellan" et jugées fiables par ses supérieurs, il fait "chou blanc" à chaque fois. Lassé de cette situation, il décide de mener sa propre enquête, aidé par un irakien handicapé.

Je ne savais pas trop quoi aller voir au cinoche, alors je suis allé voir ce film de Richard Berry, avec Jean Reno, d'après le roman de Franz-Olivier Gisbert.

Il s'agit d'un polar pas très original. Une histoire de trahisons et de vengeance dans le milieu de la pègre marseillaise, inspirée de faits réels.

Un ancien caïd "rangé des voitures" (c'est le cas de le dire...) est exécuté par un gang dans un parking. Il réussit miraculeusement à en réchapper, d'où son surnom "l'immortel".  Ce personnage est d'ailleurs inspiré d'un parrain du milieu marseillais qui a réellement existé et qui, en pleine guerre des gangs dans les années 1970, avait survécu après avoir été criblé de 22 balles, lors d'un règlement de compte.

Ce caïd donc, bien qu'il ait raccroché, est contraint de se venger, bien qu'une fliquette, Marina Foïs, tente de l'en dissuader.

Kad Meral, qu'au demeurant j'aime bien en tant qu'humoriste, n'est pas du tout crédible dans le rôle d'un chef de gang psychopathe et les nombreux coup de feux qui rythment le film ne suffisent pas à nous sortir d'un ennui... mortel.

Ce film, inspiré de témoignages réels, relate une des pages les moins glorieuses de l'Histoire de France: la rafle de 13 000 juifs entassés dans ce qui fut un haut-lieu du cyclisme sur piste à Paris, le Vélodrome d'Hiver (le Vel' d'Hiv) en juillet 1942.
De là, certains partaient directement vers les camps de concentration.
D'autres, comme c'est le cas dans le film, ont séjourné dans un camp de transit à Beaune-la-Rolande, dans le Loiret. Personnellement, avant la sortie de ce film, j'ignorais d'ailleurs complètement l'existence de ce camp...
Si ce film, où Gad Elmaleh apparait pour la première fois dans un rôle dramatique n'est pas parfait, il a au moins le mérite de faire réfléchir.
Comment a-t-on pu permettre que de telles choses arrivent?
Comment a-t-on pu promulguer des lois aussi ignobles qui incitaient les français à dénoncer des gens au seul motif qu'ils étaient juifs?
Comment a-t-on pu planifier la déportation puis l'extermination de millions de femmes, hommes, enfants, vieillards?
Comment a-t-on pu permettre que de tels crimes soient perpétrés.
Le film met en évidence l'aspect humain de ces gens simples, de ces familles sans histoire, tout-à-coup victimes de théories "foireuses".
Bref, c'était des gens comme vous, comme moi....

Ce genre de film est nécessaire car il faut se souvenir que çà s'est passé ici, en France, il n'y a pas si longtemps que çà!
Et il ne concerne pas seulement les juifs mais l'humanité toute entière, car il faut veiller à ce que plus jamais un peuple, quel qu'il soit, ne soit persécuté, à l'avenir.

Malheureusement, au regard de ce qui s'est passé depuis, en ex-Yougoslavie ou au Rwanda par exemple, "y a du boulot"!