• Au moment de sa sortie, en 1999, j'avais été déçu par ce film de Clint Eastwood, bien que j'aime beaucoup la plupart des films qu'il a réalisé comme "Pale Rider", "Impitoyable" et surtout "Sur la route de Madison".
    "Jugé Coupable" ("True Crime" en anglais) raconte l'histoire d'un journaliste chargé de couvrir l'exécution d'un condamné à mort et qui, petit à petit, se met à douter de sa culpabilité.
    Si l'intention (la dénonciation de la peine de mort) était louable, j'avais trouvé la fin du film, où il sauve le condamné in extrémis, un peu "tirée par les cheveux" et peu vraisemblable.

    Ce film est peut-être à reconsidérer car hier soir, c'est pourtant ce qui s'est réellement passé:
    Hank Skinner, a obtenu un sursis 45 minutes seulement avant l'heure prévue pour son exécution!

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  • "Bus Palladium" raconte l'histoire de potes d'enfance, fans de Rock et de Blues, qui décident de monter un groupe.
    Leur complicité va voler en éclat lorsque surgit Laura, une belle groupie, qui va exacerber la rivalité entre Lucas, le chanteur exubérant et Manu, le guitariste plus ombrageux.
    Les acteurs que je ne connaissais pas, à part Géraldine Pailhas, sont tous formidables et réussissent à rendre le film plaisant et crédible.
    La bande-son a été confiée à Yarol Poupaud, ancien guitariste de FFF.
    A noter également une apparition de Philippe Manoeuvre, le célèbre rédacteur en chef de Rock & Folk!
    Bref, un film très sympa...

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  • Je reviens sur une émission qui est passée, cette semaine sur France 2.
    Je ne sais pas si vous l'avez regardée...

    Inspiré par les expériences menées dans les années 60 par le scientifique américain Stanley Milgram, "Le Jeu de la Mort" était un faux jeu télévisé où des candidats devaient infliger des décharges électriques de plus en plus violentes, et même potentiellement mortelles, à un individu caché dans une sorte de sas. (en fait, un comédien)
    L'émission entendait, ainsi, dénoncer la surenchère de programmes de télé-réalité type "Le Maillon Faible", "Koh-Lanta"... et démontrer que, sous les injonctions d'une autorité, la plupart des êtres humains se soumettent et obéissent généralement aux ordres qu'on leur donne, même les plus abjects.
    Si la réflexion sur la toute puissance de la télévision était intéressante, le procédé, il faut bien l'avouer, était quand même assez "bidon".
    Peut-être qu'un jour, il y aura des jeux télévisés où l'on mettra réellement à mort des gens, en direct.
    Mais pour l'instant, on sait très bien que çà ne peut pas exister et je suis persuadé que certains "candidats"  sont allé jusqu'au bout de l'expérience sachant, consciemment ou non, que tout cela était "pour de faux".
    Lorsqu'il m'arrive de regarder "Fort-Boyard", je vois des candidats plonger leurs mains dans des vasques grouillantes de reptiles. On sait très bien que la production ne se permettrait jamais de risquer la mort d'un participant en y mettant des serpents dangereux,par exemple...
    C'est du même ordre...
    Si 81% des pseudo-candidats au "Jeu de la Mort" sont allés jusqu'au bout, absolument rien n'est prouvé et je serais curieux de connaître le pourcentage de téléspectateurs qui ont "marché dans la combine"!
    Car il fallait être bien naïf, pour tomber dans le panneau et si "Le Jeu de la Mort" tendait à démontrer, à raison, que les émissions de télé-réalité nous prennent pour des imbéciles, cette émission elle-même... nous a pris pour des imbéciles!
    C'est du moins mon ressenti...

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  • Il incarnait le personnage principal de la célèbre série télévisée "Mission Impossible" et apparaissait en commandant de bord "frappadingue" dans les délirants "Y a-t-il un pilote dans l'avion?".
    Peter Graves est mort ce weekend, à Los Angeles", à l'âge de 83 ans...

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  • Au dela de ses démélés avec la justice, pour une affaire qui remonte à 1977, les films de Roman Polanski sont souvent passionnants et son tout dernier film "The Ghost Writer", qui a obtenu l'Ours d'argent de le mise en scène au dernier festival de Berlin, ne déroge pas à la règle.

    Son prédecesseur ayant été mystérieusement retrouvé noyé, un écrivain anonyme, un nègre comme on dit, accepte de rédiger les mémoires d'un ancien Premier Ministre britannique, mis en cause dans une sombre affaire de crime de guerre.

    Ce thriller politique, brillament mené, bénéficie d'un casting impressionnant:
    Ewan McGregor, Pierce Brosnan, la délicieuse Kim Catrall, Olivia Williams et même, dans un petit rôle, Eli Wallach,

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  • Grand fan de Martin Scorcese, je ne pouvais pas rater son tout dernier film, "Shutter Island"!
    Et je n'ai pas été déçu par ce thriller psychologique intense et magistral!

    Deux agents fédéraux débarquent sur une "île-asile", au large de Boston, où sont enfermés des fous particulièrement dangereux, pour enquêter sur la disparition de l'une des patientes.
    Riche en rebondissements, le scénario à tiroir, tiré du best-seller de Dennis Lehane, nous mène, avec délice, par le bout du nez.
    Ce qui ne m'a pas empêché de deviner, relativement rapidement, le "pot-aux-roses", que je ne vous dévoilerai pas si vous comptez aller voir ce film...
    Ce que je vous conseille vivement!

    En outre, Leonardo DiCaprio, dont c'est la quatrième collaboration avec Scorcese ("Gangs of New-York", "Aviator", "Les Infiltrés") et Ben Kingsley sont remarquables!

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  • Ce soir, ARTE, dans sa série "Terres Indiennes", a tout d'abord retracé la résistance acharnée du fameux  Geronimo pour défendre la liberté de son peuple, les Apaches Chiricahuas.
    Après le massacre de sa famille et de sa femme, Goyathlay se venge des mexicains en les attaquant férocement, le jour de la Saint Jérôme. Dès lors, il se fera connaitre sous le nom de Geronimo.
    Il n'aura de cesse de se battre farouchement contre les colons amèricains jusqu'à sa reddition, en 1886.
    Déporté avec tous les Chiricahuas (même les éclaireurs apaches de l'armée américaine!) en Floride, puis dans l'Oklahoma, Geronimo meurt, le 17 février 1909, à Fort Sills.

    En 1918, sa tombe aurait été profanée par un certain Prescott Bush, le propre grand-père de... Georges W. Bush!




    Puis un second reportage est revenu sur un évènement qui, en 1973, avait révélé au monde entier les conditions de vie déplorables des amérindiens et principalement des Sioux.
    Pendant 3 mois, des militants de l'A.I.M. (American Indian Movement) avaient occupé le site de Wounded Knee, sur les lieux même où, en 1890, l'armée américaine avait massacré la tribu du Sioux Miniconjou Big Foot.
    Les activistes de l'A.I.M. entendait ainsi protester contre leurs conditions de vie, le racisme des blancs et  les méthodes pas très orthodoxes du président tribal de l'époque, Dick Wilson, qui à l'aide de sa milice paramilitaire, les "Goons", avait instauré un climat de terreur.
    Marlon Brando tint à exprimer sa solidarité avec les Oglalas en refusant l'Oscar pour son rôle dans "Le Parrain" et en faisant lire par une jeune apache un texte expliquant sa décision.
    Au bout des 71 jours que dura le siège, on dénombra plusieurs blessés et 2 morts, dont un Cherokee tué le lendemain même de son arrivée sur les lieux...
    Bien que leurs revendications n'aient pas été satisfaites, cet évènement a au moins eu le mérite de rappeler au monde que les indiens existaient toujours...

     

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  • Décidément, quelques jours après Pierre Vaneck, un autre acteur, surtout connu également pour ses rôles au théatre et à la télévision, vient de décéder.
    Georges Wilson, père du comédien Lambert Wilson, avait 88 ans...

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  • Surtout connu pour ses rôles au théatre et à la télévision, cet acteur discret s'est éteint le 31 janvier à l'âge de 78 ans.

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  • Un jour, en regardant un documentaire animalier, j'avais été très surpris d'apprendre que si vous êtes en pleine jungle amazonienne, à plus de 4000 km de la côte, vous pouviez très bien vous retrouver nez à nez avec cette bestiole!

    Le requin bouledogue, également nommé "requin du Zambèze", vit habituellement dans toutes les mers tropicales du globe, généralement près des côtes, mais est parfaitement capable de remonter des fleuves tels que le Zambèze, l'Amazone, le Mississipi ou encore le Gange et cela sur plusieurs milliers de kilomètres! Il lui arrive, par exemple, de fréquenter périodiquement les eaux du lac Nicaragua, en remontant le cours du rio San Juan, en plein milieu du Nicaragua (le pays).
    Il est l'un des plus dangereux, sinon le plus dangereux des requins!
    A part bien sûr, ceux de la finance...

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  • Issu de la "Nouvelle Vague", à l'instar de Jean-Luc Godard, François Truffault ou encore Claude Chabrol, Eric Rohmer avait signé des films à la fois simples et sophistiqués comme "Ma nuit chez Maud", "Perceval le Gallois, les quatre films des "Contes des Quatre Saisons" ou encore "Pauline à la plage".
    Ironie du sort: Eric Rohmer vient de s'éteindre à l'âge de 89 ans, le jour... de la Sainte-Pauline!

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  • Je suis allé voir ce film, aujourd'hui, dans une petite salle de cinéma indépendante, le Balzac, à deux pas des Champs-Elysées. J'aime beaucoup cette salle où, avant la projection, un homme vient nous présenter le film et nous souhaiter une bonne scéance. Je trouve çà très sympa et très convivial! Cà change un peu des "usines à gaz" genre UGC ou Gaumont...

    J'ai bien aimé ce film tourné clandestinement à Téhéran et qui a reçu le Prix Spécial "Un Certain Regard", au festival de Cannes.

    Negar et Ashkan, deux jeunes iraniens passionnés de Rock, décident de monter un groupe. Mais, conscients qu'ils n'ont aucune chance de percer au pays des mollahs où le Rock est interdit, ils cherchent à se procurer de faux-papiers pour aller tenter leur chance en Occident.
    Ils doivent trouver des endroits discrets pour répéter: dans une ferme parmi les vaches, dans des caves insonorisées...
    Dans une scène du film, alors qu'Ashran, tout en caressant un chien, discute avec Negar dans une voiture, la police surgit et les contraint à se débarrasser du chien, jugé "impur"!

    Ce film est un vibrant plaidoyer pour la liberté d'expression dont le Rock en est, d'ailleurs, le symbole.

     De retout en Iran, après le festival de Cannes, le cinéaste Bahman Ghobadi a été incarcéré pendant une semaine...

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  • Film vu, ce week-end.
    J'ai trotté jusqu'au métro pour voir Tetro.... C'est trop!

    Bon, trève de plaisanterie, un nouveau Coppola, çà ne se loupe pas.
    Ce film est très éloigné de ce que fait Coppola habituellement. Il n'y a quasiment aucune scène de violence contrairement à la trilogie du "Parrain" ou de "Apocalypse Now", par exemple.
    Tetro, joué par Vincent Gallo, est un homme qui a rompu tout lien avec sa famille et notamment son père, un chef d'orchestre illustre et despotique, interprété par Klaus Maria Brandauer. Un beau jour, voulant à tout prix comprendre l'histoire de sa famille, son jeune frère interprété par Alden Ehrenreich, débarque.
    Dans ce film, tourné en noir et blanc, à l'exception des flashbacks où la couleur rouge domine, on croise l'égérie d'Almodovar, Carmen Saura dans le rôle d'une critique de spectacle.

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  •  Eric Valette dans Une affaire d'Etat (Affiche)


    Film vu aujourd'hui au cinéma:

    "Une Affaire d'Etat" est un film qui renoue avec le bon vieux polar "à la française". Ce thriller halletant et bien mené, qui même intrigue policière et arcanes du pouvoir n'est pas sans rappeler les films d'Yves Boisset ou Costa Gavras.
    André Dussolier, en conseiller ripoux du Président, et Christine Boisson, en prostituée de luxe, sont parfaits. Mention spécial à Thierry Frémont, impressionnant dans son rôle de tueur.

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  • Au musée de la Cinémathèque, où j'ai passé l'après-midi, j'ai pu me plonger dans l'Histoire et même la Préhistoire du cinéma en découvrant les procédés et les objets qui ont amené à l'invention du 7ème Art.


    Lanterne Magique, inventée en 1659 aux Pays-Bas, par Christiaan Huygens:




    Praxinoscope, inventé par Emile Reynaud, en 1879:

    Le théatre optique le praxinoscope, 1877.




    Puis Thomas Edison invente le kinétoscope.
    Mais c'est la première projection publique donnée à Paris par les frères Lumière, le 28 décembre 1895, qui marque véritablement l'acte de naissance du cinéma.

    La visite est agrémentée de projections des tous premiers films très rares, ainsi que d'extraits de chefs-d'oeuvres tels que "Metropolis" de Fritz Lang ou "Les Temps Modernes" de Charlie Chaplin.

    Cet extrait des "Temps Modernes" est toujours aussi drôle:

    (Cliquez sur l'image)

     

    Charlie Chaplin: Les Temps Modernes



    Enfin, un étage est dédié au créateur de la Cinémathèque, Henri Langlois, qui a consacré sa vie à conserver et à restaurer des films anciens.

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  • Image and video hosting by TinyPic



    Petit clin d'oeil coquin au reportage de ce soir, à 22h10 sur ARTE, consacré à la face cachée de notre anatomie, les fesses!
    D'ailleurs, le reportage s'intitule justement "La face cachée des fesses"!
    Cà va nous changer des reportages sur le H1N1, le terrorisme, la crise économique, etc.

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  • Un cataclysme a décimé la quasi-totalité de l'Humanité et la fin du monde semble être en marche. Il n'y a plus ni végétation, ni animaux, ni nourriture.
    Seuls quelques individus ont survécu:
    Un père (Viggo Mortensen) dont la femme (Charlize Theron) s'est suicidée, se retrouve à errer sur les routes avec son jeune fils à qui il tente malgré tout d'apporter une bonne éducation. Ils sont confrontés à des hordes de barbares qui, pour se nourrir, en sont réduits au cannibalisme.
    Dans ce décor d'Apocalypse, le film semblerait presque avoir été tourné en "noir & blanc", si ce n'est cette scène où le gamin s'émerveille devant un arc-en-ciel. Mais la vision d'un scarabée s'envolant, à la fin du film, suscite l'espoir que la vie pourrait reprendre ses droits.

    Malgré son sujet sombre, le film est peut-être salutaire car lorsque je suis sorti dans la rue, j'étais tout content de voir toutes ces lumières, ces gens... Bref, la vie!

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  • Il est surtout connu pour avoir incarné "L'Homme du Picardie", le célèbre feuilleton qui retraçait la dure vie des mariniers. Mais Christian Barbier, qui est décédé mardi dernier, avait aussi joué dans de nombreux films comme par exemple "L'armée des Ombres" de Jean-Pierre Melville, "Weekend à Zuydcoote" d'Henri Verneuil ou encore "Jeanne d'Arc" de Luc Besson.

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  • Film vu aujourd'hui, au cinéma:

    Un jeune caïd, membre d'une terrifiante "marafuyant  son ancien gang après en avoir tué le chef, croise la route de Sayra, une jeune hondurienne qui traverse le Mexique, sur le toit d'un train, pour rejoindre clandestinement les Etats-Unis.
    C'est un film dur, âpre et intense.
    Il relate avec talent les conditions de vie épouvantables de ces clandestins, rêvant d'une vie meilleure et à la merci de tous les dangers.
    Il dépeint aussi la violence extrême de ces "maras", gangs latinos dont les membres, tatoués jusque sur le visage, n'hésitent pas à terroriser, mutiler et assassiner dans des conditions particulièrement atroces.

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  • Après une longue lutte contre une saleté de cancer du pancréas, l'acteur et danseur américain Patrick Swayze est mort le 14 septembre, finalement vaincu par la maladie...
    Révélé par la comédie musicale "Dirty Dancing", il a également joué dans "Ghost" avec Demi Moore et dans "Point Break" avec Keanu Reeves.

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  • J'ai acheté, un peu par hasard, le dernier numéro de X Roads magazine (prononcer Crossroads). Gérard Lanvin y est interviewé en compagnie de Calvin Russell. L'acteur s'y révèle une fois de plus, comme à chacune de ses interviews, classieux et d'une humilité remarquable. Cà change de toutes ces pseudo-stars qui se la pêtent grave! Il dit notamment que sa place n'est pas dans le cinéma, mais dans la vraie vie, dans les rencontres et que les métiers d'artistes ne sont pas du tout des métiers où l'on doit frimer... 




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  • Johnny Depp Public Enemies poster



    Film vu, aujourd'hui, au cinéma: "Public Enemies" retrace les aventures du fameux gangster des années 30 John Dillinger. Remarquablement interprété par le toujours impeccable Johnny Depp dans le rôle du gangster, Christian Bale dans celui du flic et la remarquable Marion Cotillard dans celui de la copine de John Dillinger, "Public Enemies" a été réalisé par Michael Mann à qui l'on doit également "Heat", film qui, en 1995, voyait s'affronter deux monstres sacrés du cinéma américain, Robert De Niro et Al Pacino.

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