Pour ce dernier jour du festival, je suis arrivé pilepoil pour le concert rafraichissant de Robin McKelle, sur la « Scène de la Cascade ». Accompagnée d’excellents musiciens, cette jeune femme toute simple a illuminé de sa voix chaleureuse et Bluesy, un répertoire de Rhythm’n Blues Jazzy avec beaucoup de classe!

A la fin du concert, le public ne s’y est pas trompé et même ceux qui arboraient des tee-shirts « Prodigy » ou « Rammstein » l’ont ovationné !

Le fait d’avoir assisté, d’emblée, à un excellent concert m’a mis dans de bonnes dispositions pour enchainer, sur la « Grande Scène » avec Macy Gray.

La dame nous a concocté une Soul Music puissante et énergique, mâtinée de Hip-Hop.

De retour à la « Scène de la Cascade », j’ai supporté deux-trois chansons de Slimmy…

Puis, direction la Grande Scène…

Alors que les roadies s’affairaient à préparer le matos des Eagles of DeathMetal, sur les écrans géants, on pouvait apercevoir Josh Homme backstage.

Curieusement, il n’a joué qu’un seul morceau avec les Eagles of DeathMetal. Bizarre…

Malgré leur nom, la musique des Eagles of DeathMetal n’a rien à voir avec du Death Metal (ni avec les Eagles, d’ailleurs…). Il s’agit en fait de Rock brut de décoffrage avec les amplis à 11 mais non dénué d’humour. Le moins qu’on puisse dire c’est que çà déménageait !

Bon, il était temps d’aller découvrir ce groupe mystérieux, les fameux « Petits Pois », comme annoncés sur le programme…

Bizarre, tout de même…Où était donc passé Josh Homme ?

En fait, nous l’avons retrouvé sur la « Scène de la Cascade », notre « Homme » !

Les Petits Pois étaient en fait Them Crooked Vultures, super groupe formé autour de John Paul Jones, bassiste mythique de Led Zeppelin, Dave Grohl, batteur de Nirvana et donc Josh Homme guitariste des Queens of the Stone Age et des Eagles of DeathMetal !

Ils ont délivré un Hard Rock très original, à la fois psychédélique, explosif et très inventif!

Dave Grohl, aux baguettes, était particulièrement impressionnant !

J’en suis ressorti groggy !

J’avais besoin d’une bière !

Puis je suis allé voir MGMT.

Je ne connaissais que leur tube mais leur show psychédélique m’a convaincu.

Très bon concert !

Après cela, j’ai repiqué vers la « Scène de la cascade » pour voir le groupe anglais Klaxon.

Mais tout d’un coup, j’ai été pris d’un méchant coup de barre. J’ai tenu bon pendant leur concert, pourtant excellent.

Mais, après 3 jours de festival, j’étais claqué et j’ai fait l’impasse sur The Prodigy.

Je suis sagement rentré chez moi…

J'ai ravalé ma déception:
Vendredi soir, Oasis n'était, finalement, qu'un mirage!

Je suis arrivé sur le site, samedi après-midi, juste au moment où, sur la "scène de la Cascade", Kitty, Daisy and Lewis terminait leur prestation. Le peu que j'en ai entendu avait l'air pas mal (guitare et harmonica très Bluesy).
Je me suis rabattu vers la "Scène de l'Industrie" où un groupe français, Cheveu, proposait un mélange de guitare et de bidouillages électro.
Puis je me suis dirigé vers la "Grande Scène" pour voir Noisettes...terminer son concert juste au moment où j'arrivais! (c'est moi qui les fait fuir, ou quoi?)
Du coup, je suis revenu à la "Scène de la Cascade", pour tomber sous le charme de la très jolie chanteuse du groupe danois The Asteroids Galaxy Tour (le nom du groupe, par contre...)
dont le mélange de Pop et de Funk est assez agréable à écouter.
Un peu plus tard, sur la "Grande Scène", l'extravagante Ebony Bones délivrait  un mélange d'Afro-Beat, de Punk et de Funk très spectaculaire!
Elle a mis le public dans sa poche en reprenant, dans une version speedée, "Another Brick in the Wall" de Pink Floyd!
Puis retour à la "Scène de le Cascade", pour voir Dananananaykroyd (ce nom!). Bof...
Puis retour à la "Grande Scène", (une petite bière au passage), pour découvrir le groupe canadien Billy Talent délivrer un Punk-Rock plutôt efficace (mélodies + énergie). Pas mal!
Sur la "Scène de la Cascade", je voulais voir à quoi ressemblait la grande sensation du moment, en Angleterre, The Horrors.
Cinq jeunes types habillés en noir et maigres comme des estocafitches (mais qu'est-ce qu'ils mangent ces gens-là?)
et dont la musique ne m'a pas emballé...
J'ai fait comme pas mal de gens: j'ai zappé...
De toute façon, j'avais la dalle et c'était le moment de m'acheter un sandwich.
Un Croq'baquette reblochon-jambon a fait l'affaire.
Puis j'ai patienté à la "Grande Scène" en regardant, sur les écrans géants les jolies filles du public, jusqu'à ce que The Offspring déboule.
Tous leurs tubes ont défilé, devant un public conquis: "Come out and play", "Self  Esteem", "Pretty fly for a white guy" ou encore "Why don't you get a job"...
The Offspring a mis le feu et Faith no More a calciné ce qui restait avec leur mélange de Heavy Metal, de Punk et de Hip-hop.
Les performances vocales de Mike Patton étaient particulièrement ébouriffantes! Démarrant leur concert par la reprise incongrue de la scie "Reunited" de Peaches & Herb, ils ont alterné morceaux "Speed" et reprises au second degré de "I started a Joke" des Bee Gees ou encore "Easy" des Commodores.

Au programme, aujourd'hui: Eagles of DeathMetal, MGMT, Slimmy (?), The Prodigy...
En outre, sur le programme du festival, il est question d'une réunion de musiciens de renommée internationale dont l'identité est secrète, et qui "devrait s'inscrire dans l'histoire du festival comme une énorme déflagration" (sic)! Je suis intrigué...
Bon, j'y retourne!

A l'époque où Nagui présentait "Nulle Part Ailleurs", il avait une rubrique qui s'appelait "Quand j'étais petit, je croyais que..." (ou quelque chose comme çà).
Eh ben moi, dans ma petite tête de gamin, je croyais que les jumeaux se ressemblaient toujours comme deux gouttes d'eau, qu'ils étaient toujours sosies.
Si bien que lorsque j'entendais que des villes avaient été jumelées, je croyais qu'on avait réussi à les rendre identiques (les rues, les places, les magasins...)
Comment était-ce possible?
Je ne comprenais pas du tout...
Et vous, pour cette rubrique, qu'auriez vous répondu?
Tiens, c'est une idée de défi!

Hier, je suis parti directement du boulot, direction "Rock en Seine".
Lorsque je suis arrivé sur le site, j'avais beau entendre d'un côté les Yeah Yeah Yeahs et de l'autre Amy MacDonald, j'avais un impératif: trouver les toilettes...et patienter dans la file d'attente!
Puis, je me suis dirigé vers la "Scène de la Cascade" où j'ai assisté au concert de Madness. La comédienne Lou Doillon, qui était non loin de moi, semblait s'éclater sur la musique de ces légendes du Ska! Elle n'était pas la seule: le public reprenait en choeur "One step beyond", "Night boat to Cairo" ou encore "Our house". Leur "set" était très sympathique.
Puis, je me suis dirigé vers la "Grande Scène" pour voir ce que valait le groupe Vampire Weekend. Mouais, bof...
Pas convaicu, je suis retourné vers la "Scène de la Cascade", m'arrêtant en chemin pour prendre une bière; bières qui sont servies dans des gobelets en plastique dur, à l'effigie du festival, et consignés 1 euro. Je vais conserver le mien en souvenir! 
Puis j'ai assisté au meilleur concert de la soirée: Bloc Party.
Très influencé par la "New-Wave", ce groupe est mené par Kele Okereke, chanteur d'origine nigériane, dont le timbre de voix n'est pas sans évoquer celui de Robert Smith de Cure!
L'excellent guitariste Russell Lissack a arboré de magnifiques Telecasters, dont une bleue de toute beauté...
A un moment donné, un gars est monté sur scène et a annoncé avec un gros accent anglais: "Oasis, çà marche pas..."
J'ai crû à une plaisanterie car Bloc Party a alors joué humoristiquement quelques accords d'une des chansons d'Oasis.
Après ce concert, je suis retourné vers la "Grande Scène".
J'étais intrigué de croiser beaucoup de monde revenant de l'endroit où devaient se produire les frères Gallagher, mais bon...
J'ai patienté, puis tout-à-coup, c'est...Madness qui s'est pointé!
Ils ont enflammé le public avec leur bonhomie et leurs chansons irrésistibles.
Accompagné par la foule, Suggs, le chanteur, a, au cours de leur prestation, entonné a cappella "Help" des Beatles,  avant d'annoncer avec humour: "We are Oasis!"
Terminant leur concert par "Night Boat to Cairo", ils ont alors invité une vingtaine de jeunes festivaliers à venir danser, avec eux, sur scène. Très sympa!
Aujourd'hui, il y a The Offspring, The Horrors, Yann Tiersen, Faith no More et bien d'autres.
Espérons qu'il n'y aura pas d'autres défections parce que, franchement, les stars capricieuses, çà commence à me gonfler!
Bon, j'y retourne!

Ce week-end, pas de naturisme! Eh non! Même s'il fait beau...
Je vais au festival "Rock en Seine", et çà commence dès demain soir!
L'affiche est alléchante: Oasis, The Offspring, Madness, Faith no More...
Ne craignez rien! Je vous raconterai tout çà!
D'ailleurs, çà me donne une idée: ayant conservé la plupart de mes tickets (il m'en manque tout de même quelques uns), je vais régulièrement passer en revue, comme je l'avais déjà fait sur Orange Blog, tous les concerts auxquels j'ai pu assister.

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Un certain charme se dégage de cette chanson rare des Stones, qui figure sur la compil' "Metamorphosis".
Elle commence tout d'abord cool, cool. Limite Folk. Puis tout d'un coup, la batterie de ce bon vieux Charlie Watts déboule et on se met à taper irrésistiblement du pied!
J'aime bien ce disque, surtout la seconde partie à partir de "I don't know why" jusqu'à "I'm going down" où Keith Richards sort de sa Telecaster des riffs imparables!
D'ailleurs, d'après ce que j'ai vu quelque part (je ne sais plus où...), la plupart de ces chansons ont été composées, précisément, la nuit du décès de Brian Jones...

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La chanson qui a fait connaitre le groupe de Mark Knopfler, Dire Straits.

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Chanson de circonstance, bien que je ne considère pas spécialement que ce soit mon cas, au vu de l'anecdote précédente...

Jeff Buckley a sorti, en 1994, un album magnifique, "Grace", où figure cette sublime reprise d'une chanson de Léonard Cohen!
Malheureusement, il est mort jeune, à 30 ans, noyé dans les eaux boueuses du Mississipi..
Il était le fils du chanteur Folk Tim Buckley, lui aussi, mort jeune, à 28 ans, en 1975...

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Une petite douceur pour vous souhaiter bonne nuit!

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Cette chanson des Stones, qui figure sur "Goats Head Soup", n'est pas la plus connue, mais c'est celle qui m'a rendu raide-dingue des Stones! 
 "Silver Train", qui figurait sur la face B du 45 tour de leur tube "Angie", déborde d'une énergie incroyable!

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Tiens, ben je vous mets la version que Bowie en a faite sur l'album "Pin-Ups"

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Je disais donc, on est vendredi...
C'est marrant, parce que, auparavant, je parlais justement des groupes australiens!
Eh bien, en voici un!

Les Easybeats étaient formés notamment par Harry Vanda et Georges Young, futurs producteurs de bon nombre de groupes australiens tels que Rose Tatoo, The Angels et bien sûr AC/DC.
D'ailleurs, Georges Young n'est autre que le propre frère de Malcolm et Angus Young!
 
Ce tube, qui date de 1966, a été repris plus tard par David Bowie.

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Ouf! C'est vendredi! La semaine est finie!
Bon, un petit JJ Cale, pour fêter çà: Friday...

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Cet autre groupe australien a connu un énorme succès, en 1987, avec cette chanson qui prend fait et cause pour la défense des droits des aborigènes.
Militant écologiste très engagé, le leader de Midnight Oil, Peter Garrett, était, déjà à cette époque, très préoccupé par les problèmes d'environnement.
Son engagement l'a conduit à se lancer à plein temps dans la vie politique.
Il est, à présent, ministre de l'environnement. 

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Allez! Je m'en remets une couche!
Cette video-ci est particulièrement représentative de l'extraordinaire popularité de Cold Chisel, "down under"!

Vous avez très certainement remarqué que j'écrivais certains mots en rouge...
Il s'agit en fait des mots que je n'aime pas.
Voici, ci-dessous, quelques exemples:

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Groupe épatant, quasiment inconnu en France, Cold Chisel était mené par Jimmy Barnes, véritable légende dans son pays d'origine, l'Australie.
Mettant à profit une large palette d'inspiration (Rock, Blues, Reggae et même Jazz), pour composer d'excellentes chansons, Cold Chisel avait en outre un guitariste très doué, Ian Moss, dont personnellement j'aime beaucoup le style, à la fois très mélodique et très incisif!

Cliquez sur Troubadour

Tant que j'y suis, voici la version originale, chantée par le génial JJ Cale!

Cliquez sur Eric Clapton

J'ai lu quelque part, aujourd'hui, que 90 % des billets de dollars sont imprégnés de cocaïne!
Les...hum...disons, usagers en auront pour leur argent!
Imaginez: ils n'ont même plus besoin d'en acheter!
"Ouais, heu...Bon, finalement mon billet je vais le garder! Je le snifferai plus tard!"

Bon, trève de plaisanterie, voici une chanson de circonstance: la reprise fameuse du classique de JJ Cale par Eric Clapton!

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La meilleure musique pour voyager en train!
Un jour, je voyageais à bord d'un TER et, tout en écoutant ce morceau de Mozart, alors que le train sillonnait la campagne, je regardais défiler le paysage sous mes yeux: les champs, les rivières, les fermes...Le ciel était idéalement gris pour que mon esprit vagabonde et j'avais soudain l'impression d'être dans un film.

Un jour, je feuilletais nonchalamment le magazine féminin d'une copine (Femme Actuelle ou quelque chose comme çà...).
Dans un article traitant des bains moussants, une phrase a retenu mon attention: "Offrez-vous un moment de nudité!"
Eh ben, c'est exactement ce que j'ai fait, aujourd'hui!
Il faisait si beau que je suis allé "m'offrir un moment de nudité" à Héliomonde, un centre naturiste de la région parisienne.

Bien que son look soit radicalement différent, la Gibson SG appartient bel et bien à la famille des Gibson Les Paul.

En 1961, elle a d'ailleurs été à l'origine de la rupture entre Gibson et Les Paul, ce dernier n'appréciant pas du tout le design de cet instrument.

Cette guitare a été adoptée par:

- Pete Townsend (The Who)
- Louis Bertignac (Telephone)
- Carlos Santana
- Franck Zappa
- Tony Iommi (Black Sabbath)
- Jerry Garcia (Grateful Dead)
et bien sûr Angus Young (AC/DC)