Mon pote Laurent voulait depuis longtemps qu'on se fasse une soirée Jazz et, il y a quelques jours, j'avais proposé le Sunside Sunset, dans le quartier des Halles, que je connaissais déjà un peu.

Malgré les évènements tragiques, nous avons décidé de maintenir notre soirée pour plusieurs bonnes raisons, la première d'entre elles étant de se changer les idées.

Et puis, pour être franc, je n'avais pas envie de rester toute la soirée devant mon poste de télévision à regarder en boucle (et au ralenti) les images du camion fonçant dans la foule et des journalistes peu scrupuleux interviewer ce pauvre homme prostré, hagard, devant le cadavre de sa femme!

Laurent et moi, nous nous sommes donc retrouvé vers 19h dans un bar sympa, rue Saint Honoré et, après deux pintes de "Chouffe" et un petit plateau de charcutaille, nous avons rejoint le Sunside Sunset, dans la rue des Lombards.

Nous avons pu nous asseoir non loin de la scène de cette salle pas très grande mais très conviviale d'où nous avons assisté au concert de Toshiko Akiyoshi.

Malgré ses 86ans, cette pianiste de Jazz japonaise nous régalé par sa virtuosité et son immense talent, accompagnée par Gilles Naturel à la contrebasse et Philippe Soirat à la batterie, eux aussi excellents!

Au final, nous avons eu 100 fois raison de maintenir cette soirée!

J'ai testé la FanZone...

Je suis sorti du métro Ecole Militaire un petit peu avant 15h mais il y avait énormément de monde et, le temps de faire la queue et de passer au moins 3 contrôles (au troisième, un vigile a même sorti mon parapluie, l'a ouvert et n'a même pas jugé utile de le refermer...), le match était largement commencé (l'Irlande menait alors 1 à 0).

Un peu avant la fin de la première mi-temps, voyant qu'il n'y avait pas beaucoup de monde aux buvettes, j'ai voulu acheter une bière mais un serveur m'a dit que les espèces n'étaient pas acceptées et qu'il fallait d'abord acheter une carte (1 euro) à un guichet.

Moi, tout ce que je voulais, c'était une putain de bière, pas une carte à la con, mais bon...

Le temps de revenir à la buvette forcément, il y avait la queue et, lorsque j'ai enfin eu ma bière, la seconde mi-temps était commencée...

Sur la carte, il est marqué: "Paiement dématérialisé pour commander plus vite" (sic)!

Bref, je venais de découvrir les joies du "Cashless"!

Sinon, bravo à l'équipe de France qui, en seconde mi-temps, a retrouvé le jeu flamboyant qui lui faisait défaut jusqu'à présent grâce, en grande partie, à Antoine Griezmann auteur des deux buts victorieux!

C'était la première fois, hier, que je retournais au POPB de Bercy (qui s'appelle désormais AccorHotel Arena) depuis sa réfection.

De prime abord, je n'ai pas été dépaysé, à part la bière à 9euros (c'est quand même abuser!).

C'est surtout dans les gradins que les changements les plus visibles ont été opérés: fini ces horribles barrières rouges qui dénaturaient le son....

Mais bon, moi j'étais dans la fosse, pas très loin de la scène, assez bien placé, finalement.

Charles Pasi, qui a assuré la première partie, a fait une entrée en scène assez remarquée grâce à une virtuosité, à l'harmonica, assez époustouflante avant, malheureusement, d'enchaîner avec des chansons mollassonnes comme c'est pas possible...

Dommage...

Après quoi on a patienté au son du grand Howling Wolf...

Le concert de Neil Young a, parait-il, duré 3 heures mais ces 3 heures, je ne les ai pas vu passer!

Commençant par des chansons calmes (les splendides "After The Gold Rush", "Heart Of Gold", "Comes A Time"...), le Loner a rapidement branché sa vieille Gibson noire (alternant pour le somptueux "Alabama" avec sa magnifique Gretsch) pour nous asséner un déluge de décibels jubilatoire, notamment sur l'épique "Mansion On The Hill" avant de triompher avec l'imparable "Rocking In The Free World" qui, résonne un peu, pour nous Rockers français, comme un hymne et de revenir, en rappel, avec "Like An Inca"!

Au final, Neil aura joué pas mal de morceaux de "Harvest" ("Heart Of Gold", "The Needle And The Damage Done", "Out On The Weekend", "Old Man" et "Alabama")!

Grand concert!

Cet après-midi, plongée dans l'univers du Velvet Underground, groupe mythique des 60's qui, durant son existence, n'a pas marqué son temps mais qui est devenu, par la suite, l'un des groupes les plus importants de l'histoire du Rock!

Photos, musique et documentaires (attention: dans le coin "Backroom", certaines séquences à caractère porno pourraient heurter la sensibilité de certains, comme on dit!) illustrent la contre-culture foisonnante du New York des 60's et nous fait découvrir des artistes qui gravitaient autour du Velvet (Nico, Andy Warhol, Edie Sedgwick, Jonas Mekas, La Monte Young, etc).

L'expo se tient à la Philarmonie de Paris (anciennement Cité de la Musique) à Paris jusqu'au 21 août!

Encore un excellent moment passé au bar le Gaïa du centre naturiste de Montalivet!

O.C.B. (Only Cigar Box) est un groupe qui joue (très bien!) le Blues... sur des guitares fabriquées, comme son nom l'indique, à partir de boîtes de cigares ou éventuellement de bidons d'huile.

Bien dans l'esprit de Seasick Steve!

Deux concerts fantastiques que j'ai pu voir au Gaïa, le bar situé tout près de la plage N°1, au CHM de Montalivet, durant mes (excellentes) vacances.

Tout d'abord la Cie Mohein, un collectif de musiciens bordelais qui a fait un triomphe avec un répertoire de musiques issues principalement des Balkans (Grèce,Turquie, Bulgarie...).

Violons, guitare, mandoline, et surtout un époustouflant virtuose du cymbalum, un instrument à cordes de la famille des cithares également surnommé  "piano tzigane".

Le tout mené par une chanteuse, sorte de "Janis Joplin des Balkans",  à la gouaille et à la voix remarquables!

J'ai franchement été bluffé par leur prestation et je suis loin d'avoir été le seul!

A 72 ans (il aura 73 ans, le 18 juin), Paul McCartney a toujours une pêche d'enfer!

Commençant vers 21h15 par "Eight Days A Week", Paul McCartney nous a gratifié d'un show exceptionnel.

A part "Temporary Secretary", une de ses chansons les plus récentes et, il faut bien l'avouer, très oubliable, Paul McCartney enchaîné les chansons fabuleuses de l'époque des Beatles et des Wings!

Et on a eu droit à de grands moments:

"Got To Get You Into My Life", "Paperback Writer", "Lady Madonna", "Nineteen Hundred And Eighty Five", "Band On The Run", "Hey Jude" (repris en chœur par la foule!)...

En tout, plus d'une quarantaine de chansons, avec quelques moments particulièrement émouvants comme le magistral "Black bird", "Here Today" (dédié à son "pote" John Lennon) ou encore "Something" (dédié à son "frère" George Harrison)!

La grande classe et la grande claque!

Merci, Paul!

Hier soir, je suis allé voir le spectacle d'une copine, Marion alias "Ma Saïsara", dans un petit club de Jazz du quartier des Halles à Paris.

De sa voix douce, Ma Saïsara distille sa poésie dans des mélodies Jazzy et Bluesy, voire World Music.

De quoi passer une excellente soirée, ce qui a été le cas!

Bravo, Marion!

Il fallait envoyer une carte postale à Rock & Folk, et les 100 premiers gagnaient une invitation.

Et j’avais gagné !

Le concert, qui se passait en plein air dans le parc de l'Ile St Germain à Issy-les-Moulineaux, était tout simplement fabuleux!. Tout d'abord, Buddy Guy nous avait gratifié d'une prestation mémorable avant de céder la place au grand BB King, dans son costume impeccable, accompagné d'une section de cuivre et de "Lucille", son inséparable Gibson ES 335!

La grande classe!

Merci, Rock & Folk !

La Philarmonie 1 est un lieu flambant neuf (pas tout à fait fini, d'ailleurs) conçu par le célèbre architecte Jean Nouvel qui jouxte la Cité de la Musique qui, elle, s'appelle désormais Philarmonie 2.

Philarmonie 1, donc, accueille depuis le 3 mars et jusqu'au 31 mai, "David Bowie Is", une exposition à ne pas rater qui retrace la carrière de David Bowie, artiste caméléon toujours à l'affut des idées neuves, que ce soit sur le plan musical, vestimentaire ou artistique!

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Samedi soir, ARTE a diffusé le concert d'Eric Clapton enregistré à Bâle en Suisse, à l'occasion des "Baloise Session".

Le son était impeccable et Clapton, accompagné par des musiciens hors pair, des pointures comme on dit, a délivré un Blues-Rock aux petits oignons!

Ce qui m'a frappé, c'est le sacré coup de vieux général des zicos (Clapton, y compris), parmi lesquels on reconnaissait à peine Henry Spiterri, Andy Fairweather-Low et même Paul Carrack, l'ex-Squeeze!

Mais bon, quand la musique est bonne...

"Great Black Music" est une exposition passionnante qui se tient en ce moment jusqu'au 24 août à la Cité de la Musique, à la Villette, et qui est consacrée à la musique noire...

Ou plutôt aux musiques noires: Blues, Soul, Funk, Reggae, Salsa, Zouk, Hip-Hop...

Muni d'un smartguide (j'ai dû en changer deux fois...), on peut voir des documentaires et des vidéo de musiciens qui ont marqué l'histoire de la musique du XXème siècle: BB King, Muddy Waters, Duke Ellington, Ray Charles, Stevie Wonder, James Brown et bien d'autres...

L'expo est tellement passionnante que je n'ai vu qu'un étage.

Donc, la suite au prochain numéro...

Premier concert de l'année...

Mine de rien, bien qu'il ne soit pas une super star en France, Joe Bonamassa a rempli deux soirs de suite le Grand Rex, situé sur les Grands Boulevards...

J'avais pris une des places les moins chères.

Du coup, j'étais tout en haut, au fin fond des gradins, c'est-à-dire, pas l'idéal...

Le concert s'est déroulé en deux parties et Joe Bonamassa a tout d'abord délivré un set acoustique, utilisant une guitare différente pour CHAQUE morceau!

Pour cela, il était accompagné de musiciens jouant sur des instruments relativement originaux qui m'ont rappelé le jeu "Les instruments de musique du monde entier", le jeu que je vous proposait il y a deux ans sur www.riff-n-kiff.com: balalaïka, banjo, guimbarde, cajon, bodhran, violon irlandais (fiddle) et même nickelharpa!

Pour la deuxième partie, Joe Bonamassa, évoluant dans un registre entre Gary Moore et Jeff Beck, nous a démontré toute l'étendue de son talent de guitar-hero dans un set beaucoup plus électrique!

Mais, malgré sa technique époustouflante, je trouve (ceci n'engage que moi) que son Blues-Rock a manqué quelque peu de ce "Roll" qui aurait incité les spectateurs à finir le concert DEBOUT!

Au lieu de çà, les gens sont restés sagement assis dans leurs fauteuils.

Y en a bien un, à un moment donné, qui s'était levé pendant un certain temps, mais il s'est rapidement fait sermonner par des personnes derrière lui...

... à l'auditorium du Musée du Louvre

Cette conférence, suivi d'un mini-concert des Kitchennette's, avait pour thème les fans, phénomène qui s'est accentué avec l'arrivée du Rock'n Roll et de la Pop-Music mais qui existait déjà du temps de Liszt, Bach ou encore Wagner.

"Fan attitudes", présenté avec beaucoup d'humour par Christian Labrande et Stéphane Malfettes, était très ludique et très intéressant.

Fan moi-même (des Stones, bien sûr), j'ai tout de même relevé une petite erreur:

Les Rolling Stones n'ont pas choisi leur nom en référence à "Mannish Boy" mais bien à "Rolling Stone".

Il est vrai que les deux chansons sont du légendaire Muddy Waters...

En définitive, la conclusion de cette conférence était "Restons toujours fan"!

L'auditorium flambant neuf du Perreux, dans le Val de Marne, organisait hier soir une soirée au cours de laquelle se sont produits plusieurs groupes et artistes qui ont l'habitude d'y répéter.

A cette occasion, j'ai retrouvé avec plaisir Alexandre, une vieille connaissance que je n'avais pas vu depuis X temps et avec qui il m'est arrivé de faire des boeufs.

Avec son groupe, Absolute Beginners, il a ouvert les "hostilités" avec un répertoire composé de reprises (Shivaree, Jerry Lee Lewis, Philippe Katerine...). Alex a assuré, à la gratte.

Après quoi, Groove Evolution Project a proposé, non sans humour, un Jazz-Rock dénué de toute prétention.

D'origine argentine, Diego Zavatarelli a, quant à lui, démontré son talent à la guitare acoustique.

Mais le meilleur était pour la fin!

Alix, accompagnée d'un accordéoniste, d'un bassiste et d'un batteur, a bluffé tout le monde avec ses compositions: mélodies soignées au service de textes malins (parfois engagés) et très travaillés.

Cette jolie jeune femme a un très grand talent!

... à Paris-Bercy

Après une courte première partie assurée par le groupe anglais Uncle Acid (pas ininterressant), Black Sabbath nous a gratifié d'un concert fantastique, hier soir, à Bercy!

Placé en haut des gradins exactement dans l'axe, j'étais idéalement placé pour apprécier à la fois le  light-show ainsi que le son impressionnant de la musique de la bande à Ozzy.

Après l'annulation de leur concert de l'année dernière en raison du cancer qu'a subi le guitariste Tony Iommi, on pouvait craindre la méforme du groupe.

Il n'en était rien car Black Sabbath nous a délivré un concert époustouflant.

Démarrant par un "War Pigs" magistral, le groupe a enchaîné leurs classiques ("Iron Man", "Into The Void"...) + trois morceaux de l'excellent dernier album "13" ("End Of The Beginning", "God Is Dead?" et "Age Of Reason") avant de terminer dans la folie totale avec "Children Of The Grave" et bien sûr "Paranoid"!

... au Stade de France

L'occasion de retrouver un vieux pote breton que je n'avais pas revu depuis belle lurette!

Ravi de t'avoir revu, Stéphane!

Devant commencer à 20h00, le concert n'a finalement démarré que vers 20h40. Mais quel concert!

Un mur, au début partiellement édifié sur toute la longueur de la scène, est progressivement assemblé, brique par brique.

Sur ce mur, défilent alors non seulement des images d'animation sidérantes (bombardiers déversant des bombes en forme de croix, de dollars, de croissants, d'étoiles de David ou encore de logos de multinationales (Shell; Mercedes...); marteaux défilant au pas de l'oie...) mais également des photos de soldats et de victimes du "terrorisme d'état", selon les propres termes de Roger Waters.

Des bruits d'hélicoptères d'un réalisme impressionnant surgissent des quatre coins du stade, un cochon noir survole les spectateurs et, au début, un bombardier vient même s'écraser contre le mur!

Côté musique (le son était très bon!), l'ex-Pink Floyd, accompagné de musiciens très compétents, nous a refait "The Wall" dans son intégralité et quasiment à la note près!

Ont donc défilé les tubes "Run Like Hell", "Comfortably Numb", "Is There Anybody Out There" et, bien sûr, "Another Brick In The Wall" entonné par une chorale d'enfants.

Bien plus qu'un simple concert, il s'agissait d'un spectacle visuel tout simplement époustouflant!

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Formé en 1985 à Los Angeles, L7 a été associé au mouvement Grunge, certains de leurs disques étant parus sur le légendaire label Sub Pop.

Ces nanas sont très engagées dans la lutte pour le droit à l'avortement.

... à Paris Bercy

Après une première partie assurée par les chicanos de Los Lobos, et une "Marseillaise" entonnée avec ferveur, Neil Young nous a délivré un concert très électrique, si on excepte 3 chansons acoustiques, dont "Blowing In The Wind" de Dylan...

Le Loner a démontré qu'il avait encore une sacrée énergie.

Petite bémol: J'ai trouvé qu'il avait un peu trop tendance à étirer la fin de ses morceaux, souvent longs, dans un déluge de larsens psychédéliques interminables. C'est mon avis personnel...

Du coup, on aurait aimé + de morceaux genre "Cortez The Killer", "Like a Hurricane" ou encore "Helpless".

Mais bon, il nous a quand même fait "Mr. Soul", "Hey Hey My My" et, au final, "Rockin' in the Free World"!

Super concert!

Habituellement, ce sont mes soeurs Odile et Sylvie qui ne ratent aucun des matchs des Albatros, l'équipe de hockey sur glace de Brest qui caracole en tête du classement.

Aujourd'hui, c'est moi qui suis allé supporter l'équipe brestoise à la patinoire municipale de Neuilly-sur-Marne et qui leur ai communiqué l'évolution du score, via mon Iphone!

Au final, Brest s'est, hélas, incliné 4 à 3 mais bon, ils sont toujours premiers.

Et en plus, j'ai récupéré un palet... Royal!

Si vous êtes sur Paris, je ne peux que vous conseiller d'aller visiter l'expo consacrée à Django Reinhardt qui se tient du 6 octobre 2012 au 23 janvier 2013 à la Cité de la Musique.

On y apprend des tas de choses sur le roi de la guitare manouche, comme par exemple son escapade au Carnegie Hall de New-York à l'invitation de Duke Ellington...

... au Stade de France

J'étais super bien placé assez près de la scène, plutôt sur le côté gauche. 

Le Stade de France était évidemment plein comme un oeuf.

Après une première partie sympathique assurée par les anglais de Starsailor, les Stones ont déboulé sur scène sous les ovations du public avec, bien sûr, "Start Me Up". 

Grand moment lorsqu'une partie de la scène s'est avancée au beau milieu du public alors que les Stones interprétaient "It's Only Rock'n Roll" et "It's All Over Now"!

Je n'y étais pas et, franchement, çà m'aurait fait chier (passez-moi l'expression) de débourser 200 euros pour une chanteuse qui se pointe avec 45 minutes de retard, qui ne chante que pendant... 45 minutes et qui se barre sans même un mot pour ses admirateurs (certains avaient même campé devant l'Olympia depuis la veille!).

Manquer de respect à ses fans à ce point, c'est impardonnable et les spectateurs présents, ce soir-là, n'ont pas manqué de la conspuer copieusement!

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Fer de lance du NWOBHM (New Wave Of British Heavy Metal), Iron Maiden est apparu à l'aude des 80's et s'est imposé comme un grand groupe de Hard-Rock anglais.

Leur mascotte, le mort-vivant Eddie, apparait sur toutes les pochettes d'Iron Maiden ainsi que sur scène, lors de leurs concerts.

... à Bercy

De là où je me trouvais, assis dans les gradins, au fin fond de Bercy, je n'avais pas trouvé le son terrible.

Néanmoins, le POPB était archi comble de Hardos fans du gang de Bruce Dickinson.

... au Stade de France

Avec The Vaccines et Tinariwen en première partie.

Les Red Hot ont conquis les spectateurs du Stade de France (plein comme un oeuf) avec leur tubes "Californication", "Under the Bridge" et, en apothéose, "Give it Away".

John Klinghoffer, le nouveau guitariste qui remplace John Frusciante, s'est révélé très, très bon!

Et le bassiste Flea a fait le show, sautant, marchant sur les mains, se contorsionnant dans tous les sens sans perdre son groove puissant!

Dommage que le concert ait été un peu court, à mon avis...

... à Bercy (Paris)

Chouette concert que j'étais allé voir avec des amis fans de Depeche Mode.

... au Stade de France

1°) Gojira: un groupe de Metal français que j'avoue ne pas connaitre. Pas vu: trop occupés à écluser des bières tout en essayant de refourguer une place qu'on avait en rab'... et qu'on n'a pas réussi à vendre!

2°) The Kills: coincé entre deux groupes de Metal, ce groupe américain de Garage-Rock n'a pas réussi à séduire les spectateurs, malgré le renfort de percussionnistes.

3°) Metallica: pour être tout à fait franc, sur la pelouse, au beau milieu de la foule (74 000 spectateurs au total!), mes yeux ont dû se contenter des écrans géants disposés de chaque côté de la scène. 

Par contre, mes oreilles, elles, en ont eu pour leur argent!

Le show s'est axé autour du légendaire "Black Album" sorti il y a vingt ans et dont Metallica a joué tous les morceaux: "Wherever I may roam", "Sad but True", "Enter Sandman", ""Nothing else Matters"... agrémenté de morceaux de "Ride the lightning" ("From whom the bells toll") et également de "Kill'em All" ("No Remorse" et un "Seek and Destroy" dévastateur joué en rappel).

Curieusement, aucun de "Death Magnetic" pourtant excellent.

... au Bataclan

Slash, Duff McKagan et Matt Sorum, soit pas moins de trois ex-Guns & Roses, avaient créé ce supergroupe avec Scott Weiland (ex-Stone Temple Pilot) au chant.

Et ce soir-là, ils avaient investi le Bataclan pour un set très Rock'n Roll!

Le clou du concert: l'irruption, sur scène, d'un quatrième ex-Guns & Roses en la personne d'Izzy Stradlin, le temps de deux titres ("I Used to Love Her" et "It's So Easy") de la grande époque des Guns...

La première partie était assurée par les Backyard Babies, un groupe suédois également très Rock'n Roll!

... au Théâtre de Paris

Le spectacle de Smaïn, que j'avais été voir ce jour-là avec des amis, m'avait bien plu.

La salle était plutôt coquette et les sketchs de ce comédien talentueux, révélé au début des années 80 par l'émission de télévision "Le Petit Théâtre de Bouvard", étaient très drôles.